ÉPHÉSIENS 2.1-10
Le salut correspond à la liberté que Dieu nous accorde quand il nous libère de l’esclavage du péché et qu’il nous intègre à sa famille. Seul Jésus peut nous délivrer ainsi, car il est mort à notre place pour nous réconcilier avec son Père. Ces vérités évoquent souvent des questions :
• Si je mène une vie morale, n’irai-je pas au ciel? Une telle question présume que Dieu nous sauve en fonction de notre conduite. Cependant, Romains 3.10 nous apprend qu’« il n’y a pas de juste, pas même un seul ». Pour Dieu, nos bonnes actions ne représentent rien de plus qu’un « vêtement pollué » (Ésaïe 64.5).
• Dieu ne m’accueillera-t-il pas parce qu’il est bon? Dieu est aimant, mais il est aussi juste. Il ne peut ignorer le péché, même si nous croyons notre faute insignifiante.
• Si je sers dans l’Église ou que j’aide mon prochain, est-ce que je ne fais pas partie de la famille de Dieu? Les bonnes œuvres ne nous libèrent pas du péché et ne nous réconcilient pas avec Dieu; seul Jésus le peut (Romains 5.1). Celles-ci résultent du salut, mais elles ne nous le procurent pas.
Le salut découle de la grâce de Dieu et non de nos efforts. Nous sommes assurés d’une place au ciel par la foi en Jésus et la nouvelle naissance.
LA BIBLE EN UN AN : ÉZÉCHIEL 40—42
